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Pâte : mélange de plusieurs terres.
Pâte céramique : mélange de matières
premières finements broyés (argiles, kaolins, feldspaths,
etc,…). Peut se présenter sous forme de pains, de poudre, sous forme
liquide.
Pigment : substance d’origine naturelle, solide, réduite
en poudre, que l’on ajout à une masse qui, au départ, est
fluide.
Plan de joint, plan de coupe : c’est le côté latéral
des pièces de plâtre séparant le moule. C’est une ligne
qui délimite les différentes parties de ce moule.
Positif : objet final que l’on extrait du moule.
Potence : barre de fer carrée formant un coude, solidaire
à une planche, à laquelle on accroche l’armature d’un travail
à modeler, permettant ainsi d’en assurer sa stabilité.
Point de fusion : température à laquelle la glaçure
crue se transforme en verre.
Porcelaine : céramique à tesson non poreux, translucide
si les parois sont fines. Apparue en Chine au tournant des IXème
et Xème siècles.
Porcelaine artificielle ou vitreuse : Céramique translucide
dont le corps est formé d'une argile cuisant blanc (du type terre
de pipe) dont la structure est liée par un fondant vitreux (fritte).
Porcelaine naturelle ou dure : céramique translucide dont
le corps est formé de kaolin (très réfractaire) que
le feu vitrifie grâce à la présence d'un fondant (calcaire,
feldspath ou phosphate de chaux).
Pénétromètre : Appareil destiné
à mesurer la dureté des pâtes de tournage et calibrage.
Plâtre : sulfate ce calcium semi-hydraté servant à
faire les moules.
Polissage : opération qui consiste à polir la
surface des objets.
Porosité : c’est la proportion de pores ou interstices
entre les parties solides d’une pièce. On la calcule facilement par
l’absorption d’eau en pesant une pièce sèche, puis humide,
et en ramenant la différence en pourcentage massique.
Plâtre : sulfate de calcium semi-hydraté servant
à faire des moules.

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